La Corée du Nord a accepté vendredi l’offre de discussion de la Corée du Sud. La rencontre aura lieu dans un village frontalier le 9 janvier. Un nouveau signe de détente entre les deux voisins, à un mois des Jeux olympiques de Peyongchang.
C’est une première depuis 2015. Pyongyang a accepté, vendredi 5 janvier, une offre sud-coréenne de discussions. Cette rencontre se tiendra le 9 janvier. Un signe de détente entre les deux voisins alors que les Jeux olympiques d’hiver auront lieu dans un mois à Peyongchang, en Corée du Sud.
Cette annonce est intervenue quelques heures après que Washington et Séoul ont convenu de reporter leurs manœuvres militaires initialement prévues pendant les JO, des exercices qui, chaque année, contribuent à aggraver la situation sur la péninsule.
« La Corée du Nord nous a faxé ce matin un message, indiquant qu’elle acceptait la proposition de discussions le 9 janvier faite par le Sud », a déclaré à l’AFP un responsable du ministère sud-coréen de l’Unification, responsable des relations avec le Nord.
Le rendez-vous est fixé à Panmunjom, village frontalier où fut signé le cessez-le-feu de la guerre de Corée (1950-53), et l’entretien portera notamment sur les Jeux olympiques de Pyeongchang (9 au 25 février) en Corée du Sud et sur « la question de l’amélioration des relations intercoréennes », selon le porte-parole du ministère de l’Unification Baek Tae-Hyun.
La Corée du Nord a accepté vendredi l’offre de discussion de la Corée du Sud. La rencontre aura lieu dans un village frontalier le 9 janvier. Un nouveau signe de détente entre les deux voisins, à un mois des Jeux olympiques de Peyongchang.
C’est une première depuis 2015. Pyongyang a accepté, vendredi 5 janvier, une offre sud-coréenne de discussions. Cette rencontre se tiendra le 9 janvier. Un signe de détente entre les deux voisins alors que les Jeux olympiques d’hiver auront lieu dans un mois à Peyongchang, en Corée du Sud.
Cette annonce est intervenue quelques heures après que Washington et Séoul ont convenu de reporter leurs manœuvres militaires initialement prévues pendant les JO, des exercices qui, chaque année, contribuent à aggraver la situation sur la péninsule.
« La Corée du Nord nous a faxé ce matin un message, indiquant qu’elle acceptait la proposition de discussions le 9 janvier faite par le Sud », a déclaré à l’AFP un responsable du ministère sud-coréen de l’Unification, responsable des relations avec le Nord.
Le rendez-vous est fixé à Panmunjom, village frontalier où fut signé le cessez-le-feu de la guerre de Corée (1950-53), et l’entretien portera notamment sur les Jeux olympiques de Pyeongchang (9 au 25 février) en Corée du Sud et sur « la question de l’amélioration des relations intercoréennes », selon le porte-parole du ministère de l’Unification Baek Tae-Hyun.
Un climat en cours d’apaisement
Cette reprise de dialogue marque deux années de dégradation du climat sur la péninsule, au cours desquelles la Corée du Nord a mené trois nouveaux essais nucléaires et multiplié les essais de missiles. Elle affirme aujourd’hui avoir atteint son objectif militaire, à savoir être en mesure de menacer du feu nucléaire l’ensemble du territoire continental américain.
Le dirigeant nord-coréen, Kim Jong-un, s’est servi de son adresse du Nouvel An à la nation pour, fait rarissime, tendre la main en direction du Sud. Séoul a répondu en proposant ces discussions de haut niveau.
Les deux Corées ont dès lors remis en service leur liaison téléphonique qui était coupée depuis 2016, continuant à jouer l’ouverture malgré les railleries du président américain, Donald Trump, qui s’était vanté d’avoir un bouton nucléaire « beaucoup plus gros » que celui de Kim Jong-un.
Washington et Séoul ont convenu de reporter leurs manœuvres militaires prévues pendant les Jeux olympiques, dans un signe d’apaisement envers le régime nord-coréen.
Source : www.cameroonweb.com