«Puis de façon violente, la femme de joie la projette sur le lit, avant de lui arracher ses vêtements »

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Puis de façon violente, la femme de joie la projette sur le lit, avant de lui arracher ses vêtements. Et pour étouffer ses cris de détresse, la prostituée augmente le son de la musique distillée par son vieux magnéto, bon pour la casse. Et usant d’un impressionnant godemichet, L.J se met à violer la gamine en lui envoyant de torrides coups de reins, tel un de ses clients qui ne veut pas avoir à regretter ses sous.

Était-elle en manque de clients, ces étalons dignes de ce nom, qui lui farcissaient les parties intimes ? Ou est-ce simplement une seconde corde à son arc, jusque-là dissimulée de travailleuse du sexe? La dame dont il s’agit ici, est une femme de joie répondant aux initiales L.J, qui exerce son métier de « tourneuse de reins » au quartier « Agnikro 1 », à Adiaké.

Si L.J est sous le feu des rampes, c’est bien parce qu’elle s’est mise dans la peau de l’un de ses clients, pour jouer le rôle d’homme. Mais de la plus odieuse des façons, en exerçant des violences sexuelles sur une gamine de 12 ans.

Il nous revient, en effet, que l’adolescente qui répond aux initiales A.A., vit avec sa famille non loin des taudis utilisés comme locaux de job par les prostituées du secteur. Et très souvent, ces pétasses font recours à ses services de gentille petite fille, en l’envoyant faire leurs courses. Notamment, l’achat d’ingrédients leur servant à faire leur cuisine.

Nous en sommes là, quand dans l’après-midi du vendredi 19 juillet 2019, la fillette passe son chemin devant les baraques des vendeuses de charmes. A cet instant-là, elle est hélée par dame L.J se tenant au seuil de sa mansarde. Croyant donc que c’est pour lui faire faire une énième simple course, elle n’hésite donc pas à répondre à l’appel.

Mais à sa grande surprise, elle est empoignée par la catin qui l’entraîne de force dans son trou à rat, avant de refermer la porte sur elles. Puis de façon violente, la femme de joie la projette sur le lit, avant de lui arracher ses vêtements. Et pour étouffer ses cris de détresse, la prostituée augmente le son de la musique distillée par son vieux magnéto, bon pour la casse.

Et usant d’un impressionnant godemichet, L.J se met à violer la gamine en lui envoyant de torrides coups de reins, tel un de ses clients qui ne veut pas avoir à regretter ses sous.

Au même moment, vint à passer un homme. Et ce dernier, malgré le volume élevé du magnéto, réussit à percevoir les appels à l’aide de la petite fille, depuis le fond de la pièce. Il alerte aussitôt des voisins qui accourent et défoncent la porte de la chambre.

Et là, tous tombent sur la scène surréaliste de la prostituée qui, toute nue, chevauchait la petite A.A. à l’aide de son ignoble phallus en caoutchouc. La petite fille en pleurs libérée, dame L.J, elle, est maîtrisée. Et après un bon « jeune » traitement de choc, elle est mise à la disposition des éléments du commissaire de police Bazoumana Dembélé qui, entre-temps alertés, accourent sur les lieux.

Plus tard entendue au commissariat de police, la prostituée, accusée de violences sexuelles, est déférée le lundi 22 juillet 2019 devant le parquet d’Aboisso. Sa victime présumée, pour sa part, est évacuée à l’hôpital, alors qu’elle saignait des parties intimes.

Source: linfodrome

Source : Togoweb.net