Les missions de la communauté internationale, notamment la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et l’Organisation des Nations Unies (ONU) semblent ne pas être au fait de la situation. Il y a un drame que vivent les populations, surtout celle de la région Centrale du Togo dans ces périodes préélectorales. Derrière les discours de non-violence, de réconciliation, de scrutin apaisé que tiennent les émissaires du clan au pouvoir, il y a une expédition punitive, parfois même barbare à laquelle on soumet des populations du Togo, notamment celles qui se lèvent contre le mandat de trop du fils du père. Et c’est la soldatesque qui est mise à contribution.
Kandambara, Bafilo, Assoli, Sokodé, Kparatao, Lomé (surtout le quartier Agoè et ses environs) et bien d’autres villes encore vivent un calvaire. Entre mi-2018 et 2019, la situation, très tendue entre 2017 et 2018, a connu un petit relâchement. Mais à l’approche de l’élection présidentielle? et conscient de son plan secret pour la fraude électorale, le régime en place organise régulièrement des descentes des hommes en uniforme pour martyriser ces populations non favorables au quatrième mandat. En réalité, c’est tout le Togo qui a vomi le RPT/UNIR. Mais ce dernier a ciblé ces localités qui constituent en fait un avertissement pour le peuple togolais. Un membre influent du clan au pouvoir n’a-t-il pas déclaré qu’il n’y aura plus de 19 août au Togo ? Et donc le régime semble travailler à cela.
Verrouillage des –
Verrouillage des –
Source : icilome.com