Aucun chiffre concernant la participation à la mi-journée. Dans certains bureaux de vote visités à Lomé, l’affluence était importante, dans d’autres un peu moins. C’est le cas de ceux situés dans des quartiers acquis à l’opposition radicale qui appelle au boycott des législatives.
Le taux de participation national, sans doute connu dans la soirée, constituera une indication du succès de ce scrutin.
Une élection organisée avec 5 mois de retard pour permettre le déroulement des discussions entre le pouvoir et l’opposition. Des pourparlers qui n’ont pas abouti en dépit de la médiation de la Cedeao.
C’est d’ailleurs elle qui a recommandé l’organisation des législatives le 20 décembre.
La coalition de l’opposition (C14) a tout fait pour se mettre en marge du processus électoral.
D’ailleurs, les formations regroupées au sein de cette C14 ne sont intéressées ni par les législatives, ni par les réformes constitutionnelles. Elles ont un objectif unique : chasser du pouvoir le président Faure Gnassingbé. Sans élection, évidemment !
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