Certains membres de la coalition de l’opposition reconnaissent que l’appel au boycott des élections législatives a été une erreur politique.
L’idée est donc de participer aux prochains scrutins, les locales et la présidentielle de 2020.
Un projet qui interpelle le collectif des associations contre l’impunité au Togo (CACIT).
‘Si la C14 est cohérente avec elle-même, elle ne peut pas, dans les conditions actuelles, aller à des élections locales (…) elle doit d’abord exiger le redécoupage et la recomposition totale de la Céni’, explique Spéro Mahulé, le président du CACIT.
Ce dernier estime d’ailleurs que les conditions d’organisation et de transparence des législatives du 20 décembre dernier ont été respectées.
La nouvelle assemblée est légalement en droit de faire les réformes. Mais sur le volet de la légitimité, c’est un débat plus compliqué, ajoute M. Mahulé.
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