C’est reparti pour un tour de piste. La coalition de l’opposition manifestera le 31 janvier, mais aussi les 1er et 3 février. Si les opposants ne réclament plus le départ ‘immédiat’ du chef de l’Etat, ils exigent toujours le retour à la constitution de 1992 et la libération de leurs militants interpellés.
Rien n’a vraiment changé depuis près de 6 mois. Le dialogue politique proposé par le gouvernement se fait attendre. Les préalables et autres pré-conditions formulées par l’opposition retardent son ouverture.
Quel pays peut se payer le luxe d’une crise qui s’éternise ? Aucun évidemment, mais ça, l’opposition n’en a cure.
Republic Of Togo