Si 11 ans après la signature de l’Accord politique global, les réformes politiques ne sont pas encore effectives, c’est parce que les acteurs ne craignent pas l’Eternel. C’est l’opinion du parti Cercle des leaders émergents (CLE).
Afin que les réformes constitutionnelles et institutionnelles soient une réalité, les acteurs politiques doivent mettre en avant la crainte de Dieu. Dans cette optique, dans un communiqué rendu public le 24 août dernier, « Le parti politique CLE invite aussi bien le gouvernement que tous les partis politiques à privilégier des solutions pacifiques dans la crainte de Dieu et ce, afin d’épargner de nouvelles souffrances à notre peuple ».
Pour le premier responsable de cette formation politique, Me Agnima Yacoubou, « ces réformes sont nécessaires à l’ancrage de la démocratie dans notre pays ».
Il appelle par la même occasion, les uns et les autres à la retenue, allusion à la répression dans le sang des marches synchronisées du 19 août organisées par le Parti national panafricain (PNP) et réprimées dans le sang.
A.H.
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