L’homosexualité comme arme de contrôle de l’élite africaine pendant la colonisation

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L’homosexualité avait été introduite en Afrique pendant la sinistre colonisation du continent africain par l’occident impérialiste. La sodomie étant considérée par les africains comme un acte abominable nauséabond contre-nature, le colon s´en ait servi abondamment pour le bizutage, le chantage, la domination et le contrôle de des africains.

L’homosexualité pendant la colonisation était une pratique imposée aux africains qui souhaitaient avoir accès aux promotions, aux privilèges et au confort social de la vie occidentale en Afrique. Il faut ajouter à cela l’obligation d’appartenir à un cercle ésotérique (franc maçonnerie, maçonnerie etc…).

L’homosexualité n’était donc rien d’autre pour le colon qu’une technique contre nature de contrôle, de domination, de déshumanisation et d’assujettissement de l’élite africaine. Il s’agissait pour le colon d’asseoir sa maîtrise sur l’homme africain et d´avoir une élite africaine sous contrôle à lui dévouer afin de s’assurer du service de ses intérêts en Afrique. LA PHALLOCRATIE ou promotion sociale, la domination et le contrôle de l´homme africain par le phallus. Cela passait par des traitements et actes sexuels dégradants, déshumanisants et humiliants lors des grandes orgines nocturnes coloniales. Ces pratiques gluantes mystico-anales héritées de la colonisation se poursuivent encore aujourd´hui dans beaucoup de cercles de pouvoir en Afrique. Corruption sexuelle, compromis et compromissions magico-anales pour recevoir un strapontin.

Sur cette image illustrative du livre « COLONIALISM AND HOMOSEXUALITY » de Richard Aldrich, vous pouvez rendre compte de la réalité de cette pratique nauséabonde imposée aux africains. Bref à tous ceux des africains qui rêvaient avoir droit à la gestion des affaires publiques. Sur cette photo soldat africain en train de se sodomiser par colon blanc. Nous devons mettre un terme à ce genre de pratiques nauséabondes, honteuses et dégradantes venues des pays du grand froid par un retour à nos traditions ancestrales. « Celui qui veut assassiner un peuple, détruira son âme, profanera ses croyances, ses religions, niera sa culture et son histoire. » Jean-Marie Adiaffi dans son livre La Carte d’identité

Source : www.cameroonweb.com