La construction de la 2e partie du contournement de Lomé traine en longueur.
Cet axe de 21 km doit permettre aux camions d’éviter le centre ville en allant directement du port à Noépé.
Mais à peine 30% du chantier est réalisé. Des retards que l’entreprise de TP chinoise impute aux riverains et à ceux qui résident illégalement sur des terrains appartenant à l’Etat, mais aussi aux entreprises qui exploitent tout aussi illégalement le sable.
Le ministère des Travaux publics s’est engagé à faire le maximum pour lever tous les obstacles qui freinent l’avancée des pelleteuses.
Prévus pour s’achever en mai 2017, les travaux devraient être bouclés en décembre 2018.
La phase II du contournement de Lomé n’est qu’un des grands chantiers routiers lancés par le Togo en 2014 qui comprend aussi la réhabilitation et le renforcement de la RN 1 et de la RN 5 (Kpalimé-Atakpamé).
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