La partition de la lutte anti-corruption est posée et elle s’articule en trois temps.
Le renforcement de l’arsenal judiciaire, l’information des Togolais et des administrations publiques ; enfin les contrôles et la répression.
Le ministre des Droits de l’homme, Christian Trimua, a précisé jeudi la tonalité générale qui est en harmonie avec les directives gouvernementales.
La Haute Autorité de prévention et de lutte contre les infractions assimilées (HAPLUCIA) est chargée de ce dossier sensible.
Des sessions d’information, et parfois de clarification, sont organisées à intervalles réguliers. C’est le cas aujourd’hui avec une formation destinée aux personnels des ministères de la Santé, de la Communication et de l’Enseignement.
Les responsables de la HAPLUCIA doivent rappeler aux participants les textes prévus par le code pénal qui répriment la corruption.
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