Par Marcelle Apévi, togo-online.co.uk
Est-ce la fin de la cabale judiciaire engagée par le RPT/UNIR contre David Dosseh, ou juste une levée de garde à vue pour désamorcer le durcissement de ton du SYNPHOT?
C’est la grande question qui se pose, face au dernier acte de ce feuilleton qui prouve la manipulation et la mobilisation des structures et moyens de l’État pour des fins personnels, égoïstes et dictatoriaux.
Si par simple communiqué suivi de coup de fil, le président de l’Université a pu mettre fin à une affaire dite judiciaire et mettre au pas le SRI, il faut comprendre et lire un dysfonctionnement total des institutions de l’État qui en réalité ne satisfassent que les désidératas d’un individu qui se croit dieu et au-dessus de la loi.
Oui, la pression populaire des étudiants et du corps enseignant et le durcissement de ton syndical a conduit a la libération des étudiants Cédric Dosseh et Léontine Tamekloe par le ravisseur SRI.
Oui, la garde à vue du professeur Majesté Ihou est aussi levée même si celle sanitaire à lui imposée par les tortionnaires le mobilise sur les lits du CHU CAMPUS.
A quoi doit-on s’attendre? Je rappelle que la grève annoncée par les praticiens hospitaliers tient et a démarré depuis hier. Les structures sanitaires et morgues publiques sont fermées jusqu’à satisfaction totale de la plateforme revendicative du SYNPHOT.
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