‘J’aurais voulu trouver un mot, autre que celui que nous connaissons tous : un mot de cinq lettres : M-E-R-C-I. Merci à tous les acteurs partenaires du secteur éducatif’, a déclaré mardi le ministre Komi TCHAKPELE quand il a fini la visite de constatation du démarrage effectif des épreuves du brevet d’étude du premier cycle (BEPC) dans la préfecture de l’Avé.
118107 élèves dont 52747 filles soit 44,66% et 65360 garçons soit 55,34% ont démarré mardi les épreuves de BEPC de Lomé à Cinkassé. On observe cette année une augmentation globale de 1361 candidats soit 1,2%. Car, par rapport à 2016-2017, il a été enregistré 116746 candidats dont 50749 filles (43,47%) et 65996 garçons (56,53%).
Nul ne penserait que les examens allaient se tenir dans de telles bonnes conditions, vu les grandes et différentes grèves qui ont émaillé l’année scolaire depuis la rentrée. Donc, pour le ministre, tout ceci a été possible grâce à l’accord intervenu entre le gouvernement les acteurs de l’éducation. Et la plus grande reconnaissance doit aller aux enseignants.
« Merci aux enseignants d’abord. Après les difficultés que nous avons connues, lorsqu’il a été possible de mettre fin à la crise, chacun a joué son rôle en s’investissant à fond », a ajouté le ministre Komi TCHAKPELE.
Depuis le 19 avril, signature de l’accord, toutes les parties prenantes se sont mises au travail. Les enseignants ont repris leurs cours, les parents d’élèves ont motivé les enfants et le gouvernement a pris les mesures pour que ce climat de sérénité revienne dans le secteur éducatif.
« Un pays qui dispose du système éducatif malade est un pays sans avenir. Avec la crise que nous avons connue cette année, le gouvernement et les acteurs éducatifs ont estimé qu’il fallait tout mettre en œuvre pour que le système éducatif se relève », a poursuivi Komi TCHAKPELE.
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Source : telegramme228.com