« Le statut quo n’est plus possible pour le Togo », c’est la dernière position du président français, Emmanuel Macron, en visite au Nigeria, qui fait l’objet de diverses interprétations qu’on soit de l’opposition ou du pouvoir.
Des interprétations qui ont également suscité l’intérêt du ministre togolais de la Fonction publique, également cadre de UNIR, qui intervenait ce jour chez nos confrères de RFI.
« C’est la position constante du gouvernement togolais. Le gouvernement et sa majorité ne sont pas disposés à se mettre dans une logique de statu quo », c’est ce qu’indiquait Gilbert Bawara.
De l’avis de ce dernier, il est désormais indispensables qu’il y ait un esprit d’ouverture et de compromis de la part des différents acteurs politiques mais aussi par la même occasion un engagement et une détermination à aller jusqu’au bout du processus qui devra aboutir aux réformes politiques tant souhaitées par les Togo et qui viendraient renforcer la démocratie.
Les regards sont désormais braqués sur la CEDEAO qui sera en Sommet des chefs d’Etat et de gouvernement le 31 juillet à Lomé, et de qui viendra des recommandations pour une sortie de crise au Togo.
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Source : telegramme228.com