Les réformes constitutionnelles, institutionnelles et électorales, ce serpent de mer, continuent de susciter de débats au sein de la classe politique et de l’opinion. Les regards sont tournés vers l’actuelle Assemblée nationale pour voir si, avec l’absence de la « vraie opposition », le régime de Faure Gnassingbé va opérer ces réformes.
En session mardi dernier, l’Assemblée nationale, selon les informations, a retenu une date pour l’examen de ce projet de loi. La Commission des lois se penchera donc sur la question le mardi 23 avril prochain.
L’étude portera sur le projet de réformes constitutionnelles introduit par le gouvernement en novembre 2018, sur la base des recommandations de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).
Déjà jeudi dernier, la Commission des lois s’était réunie pour mettre sur pied un chronogramme dans le cadre de cette étude. Il est à rappeler que la législature précédente n’a pu opérer ces réformes à cause des incompréhensions entre la majorité au pouvoir et l’opposition.
Source : www.icilome.com