Les épisodes du film d’horreur qui se joue au Togo depuis le 13 janvier 1963 se suivent et se ressemblent. Même après le passage du témoin du père au fils en 2005, presque les mêmes acteurs sont restés au gouvernail, faisant voir de toutes les couleurs à un peuple togolais qui ne sait plus à quel saint se vouer. Que de tentatives durant toutes ces décennies de souffrance pour que la raison, l’amour, l’humanité puissent guider les pas de ceux qui nous gouvernent! Mais que de répressions sauvages, que de violations massives des droits de l’homme; comme pour dire aux Togolais, nous sommes là, nous y restons et la fin de votre traversée du désert n’est pas pour demain.
Ce qui vient de se passer depuis le 21 avril, date du kidnapping sauvage du Président démocratiquement élu Gabriel Messan Agbéyomé Kodjo, jusq-
Source : icilome.com