A sept (7) mois de la prochaine élection présidentielle, la Commission électorale nationale indépendante (CENI) par l’intermédiaire de son président annonce le démarrage de ses activités.
Tchambakou Ayassor, le premier responsable de la Commission électorale nationale indépendante lance le processus devant aboutir à l’organisation du scrutin de 2020. Alors que l’opposition notamment l’Alliance nationale pour le changement (ANC) de l’ex-chef de file de l’opposition, réclame une discussion avec le pouvoir, l’instance chargée d’organiser le scrutin vient d’annoncer la reprise de ses activités.
En effet, la CENI, à travers un communiqué, informe la classe politique et l’opinion nationale que « Dans le cadre de l’élection présidentielle de 2020, (elle) envisage d’organiser une révision des listes électorales ».
Un appel est lancé aux opérateurs de saisie (OPS), aux formateurs et agents techniques qui ont déjà pris part au recensement électoral de l’année passée et à la révision des listes électorales de 2019 disposés à encore travailler avec l’institution de se signaler sur le site de l’Agence nationale pour la promotion de l’emploi (ANPE) à partir de ce samedi 28 septembre 2019. La révision des listes électorales débutera au dernier trimestre de cette année.
L’UNIR et ses cadres sont depuis un moment en pré-campagne. Faure Gnassingbé, au pouvoir depuis 2005 suite à la mort de son père, ambitionne de rester le plus longtemps possible à son poste. L’opposition en face, elle, est plombée par des guerres d’égo ou des calculs politiciens.
A.H.
Source : www.icilome.com