Le dossier Kpatcha Gnassingbé et codétenus surgit dans les pourparlers politiques entre le régime cinquantenaire et la coalition de l’opposition. Dans la foulée, circulent des informations faisant état de menaces d’empoisonnement sur ces détenus.
La vie de Kpatcha Gnassingbé et deux de ses codétenus Casimir Dontema et Atti Abi, condamnés dans la fameuse affaire d’atteinte à la sûreté intérieure de l’Etat, serait en danger.
Selon les révélations du journal Le Rendez-vous N°323 du 1er mars dernier, des barbouzes auraient été missionnés de les empoisonner en prison.
Une autre parution, L’Alternative, de son côté précise qu’il s’agirait d’« un empoisonnement lent, suivi de leur libération » de sorte qu’ils décèdent une fois dehors.
Dans « Kpatchagate », tous les détenus sont libérés. Et il ne reste que ces trois dont la demande de leur libération réclamée par la coalition de l’opposition, n’est pas encore effective.
A.H.
Source : www.icilome.com