Il n’y a pas de culture de l’échec

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De nombreux jeunes entrepreneurs jettent l’éponge au bout de quelques mois seulement d’activité.

Pas ou de peu clients, bureaucratie, complexité des démarches, mauvais choix stratégique, les raisons sont diverses.

Le constat est dressé par les responsables de la Chambre de commerce et de l’industrie du Togo (CCIT) et l’Agence nationale de promotion et de garantie de financement des PME/PMI (ANPGF).

Y aurait-il une culture de l’échec ?

Ces deux organismes ne veulent pas baisser les bras et se proposent d’accompagner ces chefs d’entreprise, un peu désemparés, grâce à une formation adaptée.

‘Il n’est pas normal que des jeunes échouent à des moments si importants dans leur vie. Nous voulons leur donner la possibilité de pouvoir faire face à ces difficultés peu importe leur taille’, explique Naka Gnassingbé de Souza, directrice générale de l’ANPGF.

La formation repose sur des techniques éprouvées pour dynamiser les entreprises et éviter les écueils. Une sorte de plan de redressement pour repartir du bon pied.

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