Deux mois après le mouvement de grève dans l’enseignement catholique, les meneurs de la grève viennent d’être licenciés pour « fautes lourdes », par leurs responsables.
Le groupe des enseignants contestataires a réclamé de meilleures conditions de vie et de travail. Une situation que les responsables de l’enseignement catholique, dans un courrier adressé le 04 février dernier aux protestataires, qualifient « de fautes lourdes justiciables de sanctions disciplinaires ». Ils sont tous simplement licenciés sans préavis.
Il leur est donc reproché d’avoir perturbé le bon déroulement de la composition du premier trimestre, empêché leurs « collègues non-grévistes de travailler dans certaines écoles du secteur » ou encore « sillonner des écoles pour exercer une violation morale sur les enfants en les sortant des classes ».
Pour l’heure, on ne sait exactement le nombre réel d’enseignants concernés par ce licenciement.-
Source : icilome.com