Francis Kpatindé, journaliste et politologue, était l’un des communicateurs du 2è colloque (28 et 29 avril 2017) du CAP 2015 sur la problématique de l’alternance politique en Afrique. Invité sur une radio privée de la place, il estime qu’il est important que l’opposition unisse ses forces pour provoquer l’alternance.
Depuis cinquante ans, une seule famille gouverne le Togo. Tous les scrutins sont jugés frauduleux par l’opposition. Toutes les institutions du pays sont inféodées au pouvoir. L’élection présidentielle est à un seul tour… Ainsi en a décidé le régime en place.
Dans ces conditions, comment obtenir le changement, l’alternance politique au sommet de l’Etat ? Francis Kpatindé a son idée sur la question.
« Le problème, si vraiment vous voulez prendre le pouvoir dans une configuration à un tour, il faut être unis », rappelle l’ancien journaliste de Jeune Afrique aux opposants togolais.
Dans le contexte actuel, peuvent-ils unir leurs forces ?
A.H.
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