Cette interrogation parce que le président du Togo, dans une interview accordée au magazine Jeune Afrique, n’a pas exclu la possibilité d’être candidat en 2020.
« Les constitutions disposent pour l’avenir et non pour le passé », à martelé Faure Gnassingbé, lorsque la question lui a été posée sur la limitation du mandat présidentiel avec effet immédiat voulu par l’opposition. Sur sa candidature en 2020, il affirme ne pas se « situer encore dans cette perspective ».
Au sujet du prochain dialogue inter-togolais, M. Gnassingbé à soutenu qu’il s’ouvrira « rapidement en ce qui concerne la phase préparatoire. Avant les fêtes de fin d’année « .
Pour les parties prenantes, le chef de l’État à apporté une précision. Les partis extraparlementaires vont être associés. « Nous avons au sein de l’opposition des partis parlementaires et des extraparlementaires: ils devront décider s’ils viennent séparément ou en coalition. Nous avons aussi des partis qui n’ont ni manifesté ni revendiqué et qui agissent dans le cadre des institutions. Ceux-là aussi ont le droit de participer », a-t-il indiqué.
Notons que la coalition de l’opposition quant à elle maintient la pression populaire à travers le pays.
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