«Quand un nègre détient une parcelle de responsabilité, il devient dangereux pour ses semblables ». Lire un tel jugement, à vingt ans, formulé par René DUMONT, dans l’Afrique noire est mal partie, n’est seulement pas renversant de honte, mais profondément révoltant. Cet avis ravageur englobant sans discernement les Africains est une exagération condescendante.
Mais, au fil des événements sur le continent noir et au tambour des expériences que nous cumulons de la gouvernance de nos pays, on est tenté de s’aligner quelque peu sur la conclusion de René DUMONT. Même un certain Robert DUSSEY, professeur de philosophie, auteur de l’Afrique est malade de ses dirigeants, s’est ravalé carrément à la « négromanie » sous le régime pourrisseur de Faure GNASSINGBE dont il est ministre des Affaires étrangères.
Les tragédies socio-politiques orchestrées sans discontinuité sur le continent nous ramènent au principe de réalité sur les médiocres supérieurs qui se font passer pour des leaders dans nos pays. Quoique le jeune intellectuel guinéen, Lanciné CALMARA ait répliqué en soutenant contre René DUMONT que l’Afrique noire est bien partie, les bases de critères d’analyse sont t-
Les tragédies socio-politiques orchestrées sans discontinuité sur le continent nous ramènent au principe de réalité sur les médiocres supérieurs qui se font passer pour des leaders dans nos pays. Quoique le jeune intellectuel guinéen, Lanciné CALMARA ait répliqué en soutenant contre René DUMONT que l’Afrique noire est bien partie, les bases de critères d’analyse sont t-
Source : icilome.com