Après sa tournée effectuée du 23 décembre 2017 au 14 janvier dernier dans la préfecture de l’Anié, le député Hodin Eké Kokou a repris son bâton de pèlerin en début de ce mois de février. L’élu du peuple était de nouveau dans plusieurs localités de cette préfecture les 02 et 03 février pour échanger avec les militants du parti Union pour la République (UNIR) ainsi qu’avec les populations. A l’occasion, il a dénoncé l’incohérence des exigences de l’opposition et salue les concessions faites par Faure Gnassingbé.
Lors de son périple, le député a été accueilli respectivement à Akaba, Agodjololo, Djangbassou, Bassan, Kpéhoun et Anié ville. Avec les militants du parti Union pour la République (UNIR) et populations, les discussions ont porté sur les réalités politiques actuelles du Togo.
Partout où il est passé, l’honorable Kokou Eké Hodin a exprimé sa reconnaissance aux militants et populations pour la confiance placée en lui pour les représenter à l’Assemblée nationale.
Il n’a pas manqué de leur transmettre les vœux du Président de la République, du Premier Ministre et du bureau nation du parti Union pour la République.
Abordant le sujet des réformes constitutionnelles, Kokou Hodin a dénoncé l’incohérence des exigences de l’opposition. Il a souligné que le gouvernement a fait plusieurs efforts sur le sujet et que le parti UNIR a déjà fait d’énormes concessions.
Le député a également sensibilisé le public sur le projet Accompagnement Communautaire pour un Développement Durable dans l’Anié de l’Association Solidarité pour un Développement Communautaire Inclusif (SODECI). Le processus de décentralisation n’était pas en reste.
« Je vous exhorte à préserver la paix dans la préfecture afin d’accompagner le président Faure Gnassingbé dans la voie du développement et j’appelle surtout les jeunes à suivre une formation qui feront deux les hommes responsables de demain », a laissé entendre M. Hodin.
Les populations ont été également entretenues sur les programmes tels que le FNFI, l’AGRISEF, CISO, l’Assurance santé pour les élèves, l’éducation de la jeune fille, la césarienne, et le transfert d’argent.
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