Sous le thème « Participation citoyenne pour la lutte contre la corruption et les actions assimilées », la Haute Autorité de Prévention et de Lutte contre la Corruption et les Infractions Assimilées (HAPLUCIA) a initié ce jeudi 17 janvier une rencontre de sensibilisation du secteur privé contre ce fléau qui met à mal le développement économique du pays.
Ce fut pour les responsables de la Haute Autorité de Prévention et de Lutte contre la Corruption et les Infractions Assimilées (HAPLUCIA) l’occasion de mettre un accent particulier sur les conséquences de ce phénomène sur le développement du pays.
Pour Essohanam Wiyao, président de la HAPLUCIA, « il est généralement admis que lorsque le corrompu est dans l’administration publique, le corrupteur est dans le secteur privé. Le secteur privé est un partenaire traditionnel de l’administration publique en ce sens ». Cependant, l’heure est à la tolérance zéro souligne le président de cette institution.
La ministre du Commerce et de la Promotion du Secteur privé, Bernadette Legzim-Balouki, a pour sa part rappelé que « la création de plusieurs organes, notamment l’Inspection Générale de Finances, l’Inspection Générale du Trésor, la Cour des Comptes et l’Office Togolais des Recettes » constitue un moyen de réduire ce phénomène que certains assimilent à un cancer.
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