Confidences: ‘ma propre fille de 16 ans m’a piqué l’amour de sa vie’

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Je partage avec vous une histoire qui a chamboulé toute ma vie au point où j’ai failli perdre la vie.

J’ai plusieurs fois lu ce genre d’histoire, mais je ne pensais en aucun cas que cela m’arriverait. Je suis une jeune femme célibataire de 38 ans. J’ai une fille, Alice 18 ans et je vais bientôt accoucher d’un petit garçon. Ma vie n’a pas été facile, car lorsque j’étais enceinte de ma première fille, je n’avais que 20 ans et j’étais en première année de BTS. Après mon accouchement, j’ai continué mes études jusqu’à l’obtention du BTS.

Ensuite, les choses sont allées très vite. J’ai commencé à faire de petits boulots pour subvenir aux besoins de ma fille, car le père n’en voulait pas. Alice est restée avec ma mère. Je n’ai jamais eu de chance avec les hommes. Je partais de déceptions en déceptions jusqu’à ce que je rencontre Ives, 40 ans. Un homme merveilleux dont je suis tombée folle amoureuse. Après une année de relation, on a décidé de vivre ensemble.

Il a demandé ma main à mes parents.
Puisque maintenant, j’étais installée dans un foyer, je pouvais maintenant vivre avec ma fille et lui donner cette vie de famille que je voulais. Elle avait 16 ans en ce moment-là. Un an de vie commune et les choses ont commencé à se dégrader entre nous. Ma fille est distante et mon homme froid avec moi. J’ai commencé à me sentir mal et on sait rendu compte que j’étais enceinte de 3 mois.

Yves semblait heureux, mais je sentais que quelque chose n’allait pas.
J’ai donc commencé à observer les faits et gestes des autres habitants de la maison. J’ai gardé tout ça pour moi. Mieux, j’ai mené ma petite enquête et ce qui devait arriver arriva. Les deux personnes, ces êtres que j’aimais tant, j’étais prête à tout pour eux m’ont trahi de la pire des manières. Pendant que je pensais que m’a fille avait un chagrin avec un homme de son âge, c’est plutôt avec celui qui pourrait être son père qu’elle préfère être.

Je ne veux pas rentrer dans les détails, car j’ai toujours mal.
Ma grossesse est à risque et j’évite les émotions fortes. Je déserté mon foyer et j’ai trouver refuge chez ma mère, j’attends mon accouchement. Jusque-là, je n’ai pas pris de décision, mais je ne veux pas les voir ni entendre parler d’eux. C’est peut-être lâche de ma part, mais je ne veux pas penser à ce qui va se passer? Je suis perdue…

Source : www.cameroonweb.com