Par Serge Lemask, togo-online.co.uk
La rencontre de la Synergie des Travailleurs du Togo (STT) avec la presse aura été un élément catalyseur de la manœuvre malsaine entreprise par le pouvoir pour décapiter les mouvements de contestations et d’indignation face aux conditions lamentables et désastreuses de travail au Togo.
Après la conférence de presse animée à la maison de la santé à Lomé, une délégation de la centrale syndicale Synergie des Travailleurs du Togo a été dépêchée au Service de Renseignements et d’Investigations (SRI) pour vérifier l’information relative au transfèrement de Claude PELELEM de la brigade de Kara au SRI à Lomé.
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Dans la foulée de cette démarche, Claude a recouvré la liberté. Si cette libération après des jours de détention arbitraire sans fondements juridiques ni chefs d’accusations connus à ce jour, est salutaire, elle pose d’autres inquiétudes notamment le cas des autres détenus dont on ignore les raisons et l’endroit où ces derniers sont gardés.
Selon des sources concordantes, ces enseignants ont subi des tortures comme c’est toujours le cas avec les forces dites de l’ordre et de sécurité du Togo. Sentant sa mort prochaine, le RPT/UNIR s’engage dans l’usage excessif de la force, l’abus d’autorité et de pouvoir et autres actes despotiques pour mener la vie dure aux populations Togolaises, sans distinction d’ethnies comme ses adeptes le font croire.
Il revient au peuple de prendre son destin en main pour sonner le glas au régime cinquantenaire et tyrannique qui gouverne le pays.
Togo-Online.co.uk