Amnesty international Togo vient de rendre public une bande dessinée de sensibilisation et d’information à l’endroit des jeunes et internautes en général sur l’usage des réseaux sociaux.
Bien que les autorités en charge de l’Education aient pris des notes pour interdire l’utilisation des téléphones portables dans les écoles par les apprenants, ces derniers continuent par les utiliser, surtout en dehors des classe à des fins peu orthodoxe. Alors, peut-on tout publier sur internet au nom de la liberté d’expression ?
Est-il bon d’inventer et diffuser des informations pour faire du « buzz » sur les réseaux sociaux ? Que prévoit la loi en cas de violations d’intimité d’une tierce personne ? Est-il sécurisant ou recommandé de garder des contenus violant votre intimité ou celle de quelqu’un d’autre dans votre téléphone, même si vous n’avez pas l’intention de les publier ? Qu’est-ce que je risque en créant et en publiant une fausse information sur un de mes enseignants parce que je serais mécontent de mes notes… ? Qu’est-ce qu’on peut faire d’utile avec les réseaux sociaux pour que profite aux internautes ?
Voilà autant de thématiques abordées dans cette bande dessinée disponible sur les différents canaux sociaux de l’organisation et bientôt dans les bibliothèques des écoles pour informer les jeunes et internautes sur l’usage responsable des réseaux sociaux.
Cette bande dessinée tout comme les dessins animés antérieurement diffusés sont des outils conçus dans le cadre du projet « Web activistes engagés : l’éducation aux droits humains pour un militantisme numérique responsable » soutenu par la République fédérale d’Allemagne à travers sa représentation à Lomé.
Source : icilome.com