Après l’évêque d’Aného, Mgr Issac Gaglo, qui a communiqué officiellement sur l’affaire, c’est au tour d’un prêtre du diocèse de Kara, le Père Joseph Baoula de prendre la parole. Dans un témoignage lié à ce dossier, il lève le voile sur des pans cachés, antécédents et épisodes ayant précédé la démission de Joseph Bassitome et prend manifestement sa défense.
Lire ci-après le témoignage du Père Joseph Baoula.
TEMOIGNAGE DU PERE JOSEPH BAOULA AU SUJET DE SON CONFRERE JOSEPH BASSITOME DU DIOCESE D’ANEHO
Très chers confrères dans le sacerdoce ministériel, chers frères et sœurs en Christ, hommes et femmes de bonne volonté,
Je vous rejoins dans la foi et l’espérance dans le Seigneur Jésus-Christ pour vous exprimer mon amour en vous tenant informés de la libre décision prise par Joseph BASSITOME de quitter le presbyterium auquel il appartenait et tenait à grand cœur.
1- Les faits : que s’est-il passé ?
Moi je prends les choses à partir de notre formation quand nous étions au séminaire. Je ne vais pas évoquer le temps avant le séminaire. En formation, BASSITOME Joseph n’était pas en bons termes avec certains de sa promotion de Diocèse. Il y avait en particulier un de sa promotion qui était en lien avec quelques prêtres du diocèse pour créer des problèmes à BASSITOME Joseph. Il a souffert en paroisse et dans ses stages: c’était un problème d’ethnicisme mêlé de jalousie, d’envie, de méchanceté et autres. Je me réserve de citer le nom du confrère qui, déjà en formation, était en lien avec des prêtres pour créer des problèmes à Joseph car je prie pour sa conversion et je le dénonce sans le nommer. Je connais le réseau.
Avec tous ces problèmes, j’ai dit à BASSITOME Joseph de ne pas en faire une préoccupation fondamentale, mais de regarder le Christ qui l’a appelé et on aboutira au sacerdoce: on a prié pour ça et j’ai rassuré mon ami que ça va aller au nom de Jésus. Toute la formation durant, le problème a perduré et on faisait l’effort de ne pas rendre le mal par le mal.
En fin de formation en tant que diacre, BASSITOME Joseph devrait bénéficier de beaucoup de choses pour son avancement ; mais des confrères ont travaillé pour qu’il n’en bénéficie pas: son Evêque et certains prêtres savent de quoi il s’agit et de quoi je parle. Humm…c’est triste. Ordonné prêtre, il a beaucoup souffert sous les responsables avec qui il était appelé à collaborer. Il a connu beaucoup de tentations venant du Diable. Certains prêtres de son Diocèse avaient un mauvais œil sur lui. BASSITOME Joseph s’est senti rejeté par ces collaborateurs et beaucoup de confrères : on l’a aussi jugé qu’il n’est pas d’Aného. Très peu étaient les confrères qui traitaient bien avec lui (deux ou trois). Il se sentait comme seul malgré la présence du Christ à ces cotés et malgré ma proximité avec lui. Il enseignait l’Allemand alors qu’il n’a pas étudié cette langue à l’université : lui et moi avec certains de la promotion avions initié le club d’Allemand et d’Anglais.
C’est dans ce groupe que BASSITOME Joseph a montré de quoi il était capable pour l’Allemand et l’Anglais. Avec ses confrères prêtres au Diocèse, l’ambiance n’était pas bonne. J’ai toujours dit à BASSITOME Joseph de tenir bon pour la gloire de Dieu et le bien à tous. Il obéissait à mes conseils et je profitais aussi de ses conseils car moi aussi je traversais des moments très difficiles dans mon diocèse à Kara. Les choses s’aggravaient et Joseph dépérissait car spirituellement et physiquement, les choses tournaient très mal avec lui dans la famille sacerdotale. Il n’y a pas de plus grande peine que de se sentir étranger dans sa propre famille : c’est le cas de BASSITOME Joseph au Diocèse d’Aného.
Depuis le séminaire, beaucoup peuvent témoigner du grand penchant de Joseph BASSITOME pour nos traditions africaines: il voulait découvrir les valeurs de nos traditions africaines et il s’est mis à les étudier à fond. Il a étudié le Fa, le Gbessa et beaucoup d’autres choses de nos traditions. Il ne faisait pas une mauvaise aventure dans ses recherches car L’Eglise nous invite en formation à étudier nos traditions pour mieux les connaitre et en tirer les valeurs et les contre-valeurs pour savoir comment apporter la Lumière du Christ : Jésus lui-même a déclaré qu’il n’est pas venu pour tout abolir, mais pour parfaire.
BASSITOME Joseph était devenu un défenseur farouche des valeurs de nos traditions africaines: il estimait les saints de nos familles africaines. On passait de longs moments à débattre sur nos cultures africaines et les ancêtres qui luttaient contre les pratiques de sorcellerie et tout mal. BASSITOME Joseph et moi étions d’accord qu’il y avait du bien dans nos traditions et que la réalité des pratiques de sorcellerie était indéniable. Que faire ? BASSITOME et moi étions convaincus qu’avec la Force du Christ, on peut anéantir les œuvres des sorciers et sorcières parmi nous pour que les hommes vivent dans la paix et la joie de Dieu. On n’avait pas peur. Il a aussi étudié les cultures égyptiennes et autres.
Mon ami BASSITOME connaissait des herbes qui puissent aider à guérir certaines maladies physiques et il en faisait usage. Dans cette logique, il s’est associé un groupe dénommé Renaissance Africaine: dans ce groupe, il y avait beaucoup de participants qui témoignaient de leur tradition et des herbes qui guérissent : ils défendaient les valeurs africaines et dénonçaient les différentes formes d’esclavage que connaissent les Africains. BASSITOME Joseph a beaucoup appris dans ce groupe et il mettait en pratique certaines choses qu’il estime ne pas être diaboliques. Il a été interpelé à ce sujet comme son Evêque l’a dit dans son message.
Quelques détails importants : ceux qui ont rapporté les choses à son Evêque ont mentionné qu’il faut le punir au haut niveau ; tous les prêtres savent de quoi il s’agit quand on dit de punir un confrère au haut niveau ; en discussion avec son Evêque au sujet de ses pratiques, les choses ont vraiment tourné très mal pour les raisons que voici: son évêque lui a demandé s’il est encore prêtre, question que mon ami n’a pas du tout digérée ; son évêque lui révèle qu’on lui a dit de le punir au haut niveau, recommandation qu’il n’a pas digérée; on le taxe tout de suite d’être possédé et impur et qu’il faut qu’il se fasse aider pour sa purification et sa conversion. Les choses ont vraiment mal tourné à ce niveau : BASSITOME Joseph perd tout espoir en son Evêque et en ses confrères prêtres.
Etant déjà beaucoup blessé dans la formation et dans le ministère sacerdotal pour beaucoup de raisons, se sentant étranger dans sa famille sacerdotale qu’il aime tant, BASSITOME Joseph décide de quitter le corps sacerdotal. Je suis bien informé de sa décision de quitter le corps sacerdotal. En danger de mort, tout homme fait usage du libre-arbitre pour tenter de se sauver et le conseiller n’a plus de pouvoir, sinon celui de prier pour celui qu’il accompagnait : je suis resté en larmes et en prières, mais BASSITOME Joseph a fait librement sa demande de quitter le corps sacerdotal car il sentait sa mort très proche: il ne dort pas bien, il fait des accidents bizarres, il fait l’expérience de beaucoup d’attaques spirituelles, il se sent dans l’insécurité dans le corps sacerdotal, il dépérissait et personne ne s’en préoccupait vraiment. Mon ami s’est senti obligé de se recroqueviller sur lui-même.
Alors pourquoi quitter le corps sacerdotal pour entrer dans le vodou comme on le note ? En voyant un peu son histoire et son parcours de formation, son intérêt pour les valeurs traditionnelles africaines, on a des éléments de réponse. Il y a eu des influences physiques et spirituelles. Je ne touche pas en profondeur le coté spirituel pour deux raisons : éviter d’ébranler la bonne foi d’un grand nombre et conserver les confidences entre lui et moi. Je vais user de deux exemples pour que nous comprenions clairement son changement de camp.
Premier exemple : l’arbre tombe du coté où il est beaucoup plus penché. Pour éviter qu’un arbre tombe du coté où il est penché, il faut prendre de bonnes mesures et une bonne force d’intervention pour le relever, faute de quoi il tombe nécessairement du coté où il est penché. Deuxième exemple : tout homme est debout avec ses penchants mauvais ; tout homme debout avec ses péchés et son penchant mauvais tombe dans ses péchés si on le pousse dans le sens de ses faiblesses, de ses péchés et de son penchant mauvais. Celui qui a des oreilles pour comprendre, qu’il comprenne.
Il m’a dit qu’il part pour être épanoui et pour être heureux ; qu’il part pour éviter d’être crispé; pour ne pas vivre dans la peur inavoué ; qu’il part pour être libre. J’ai analysé ce qu’il m’a dit et je crois que quatre-vingt-dix-neuf pour cent des prêtres ont compris ce qu’il dit : je ne vais pas commenter ce qu’il a dit, mais si nous voulons comprendre, nous comprendrons.
Pour la démarche entreprise avec BASSITOME Joseph dans son Diocèse, je pose une question et que chacun réponde en âme et conscience : peut-on envoyer des gens en qui une personne n’a pas confiance pour un dialogue et pour la conseiller ? Ceux qui ont rapporté et traité les choses avec l’Evêque au sujet de Joseph avaient déjà signé qu’on le punisse au haut niveau : y a-t-il encore une bonne démarche de relèvement qu’on puisse faire avec lui pour qu’il comprenne et se convertisse du faux pas opéré?
Que mon ami ait fait un faux pas dans l’application des valeurs découvertes dans les traditions africaines qu’il a étudiées est chose que je ne peux pas nier : mais comment on l’a aidé à revenir sur le vrai Chemin ? Je me réjouissais que la nouvelle soit parvenue à son évêque et j’espérais que les choses soient bien réglées, mais dommage et désolé : On l’a tout de suite jugé et trouvé être possédé et impur. Qui parmi les prêtres et Evêques n’a jamais dérapé ou commis une grande erreur dans la pastorale ? Je veux bien connaitre ce prêtre et cet Evêque pour l’adorer.
A ce que je sache, dans un Diocèse, le premier exorciste c’est l’Evêque : si on a trouvé que Joseph était possédé et impur, on devrait d’abord le garder aux bons soins de son Evêque pour qu’il l’exorcise et le suive plutôt que de lui demander tout de suite d’aller au monastère de Dzogbegan pour un ressourcement spirituel en vue de sa conversion. Joseph n’était pas préparé pour une telle démarche de ressourcement spirituel : on n’intime pas l’ordre à un enfant de quitter tout de suite la maison familiale pour une autre famille qu’il ne connait pas; autrement dit, si la pression de sortir est forte, l’enfant sortira de la maison pour aller rester sous un arbre ou déambuler dans la rue : c’est dans ce sens aussi qu’il faut comprendre un peu ce qui est arrivé à Joseph en dialogue avec son Evêque. Les blessures de mon ami, ses faiblesses personnelles, les pressions, les rejets qu’il a connus en Diocèse, le penchant qu’il avait de valoriser les valeurs traditionnelles africaines, la mauvaise gestion de la crise avec son Evêque ont été des aspects qui, sans doute, ont ouvert la porte pour que Joseph décide de quitter le corps sacerdotal. A qui le tort ?
2- BASSITOME Joseph a-t-il fait scandale à l’Eglise ?
Son faux pas opéré malgré sa bonne foi à user des valeurs de nos traditions dans son ministère sacerdotal et sa décision à changer de camp peuvent scandaliser nombre de fidèles de l’Eglise. Joseph ne s’est pas préparé pour changer de camp. C’est parce que la crise a été mal gérée qu’il est tombé vers le coté où il était penché. Quand une brebis est malade, il faut savoir la traiter pour sa guérison comme Jésus nous a montré l’exemple. Je nous pose une question : entre le fait que Joseph BASSITOME change de camp et le fait de n’avoir pas su le prendre pour corriger le faux pas qu’il a opéré, qu’est-ce qui est plus scandaleux ?
Réduit à ses faiblesses, laissé à lui-même, poussé par les pagailles régnant dans le corps sacerdotal, il est tombé et on a pris son péché pour étaler sur la place publique : Dieu seul est le vrai juge. Chacun de nous avec ses péchés protégés fait scandale dans l’Eglise du Christ.
3- Mon constat à partir de ce qui est arrivé à Joseph BASSITOME
Ce qui est arrivé à Joseph est déjà arrivé à nombre de prêtres et arrive à beaucoup de prêtres : beaucoup de prêtres sont dans des situations de crise à degrés différents. Si ces crises continuent d’être mal gérées par nos pères Evêques et leurs collaborateurs sur qui ils comptent, la fumée du Diable fera davantage ses preuves dans le corps sacerdotal. Ce qui est arrivé avec BASSITOME Joseph ne vaut absolument rien par rapport à ce qui se passe actuellement sans que beaucoup ne se rendent compte : tous les prêtres savent que ce que je dis est vrai. Ce qui est arrivé à Joseph est le fruit de la fumée du Diable qui circule dans le corps sacerdotal engendrant les chimères que voici : la xénophobie doublée de l’ethnicisme, la haine, l’envie, la jalousie, le mauvais œil, les hypocrisies, la duplicité, le goût des grandeurs, l’orgueil de certains Evêques et autres choses semblables.
4- Mon appel au sujet de BASSITOME Joseph
Priez pour lui et priez aussi sans cesse pour tous les prêtres car la fumée du Diable nous oppose dans l’Eglise du Christ.
Chers amis chrétiens et chrétiennes de tout le monde entier, levez-vous pour aider les prêtres et les Evêques: aidez-les pour leur mission et dans leur mission, ils ont beaucoup de faiblesses que vous pouvez résoudre par la grâce du Christ en vous.
5- Je résume mon témoignage au sujet de BASSITOME Joseph dans le poème que voici:
BASSITOME Joseph
Le Bien triomphe toujours du Mal
Le Mal ne triomphera jamais du Bien.
Heureux ceux qui optent toujours pour le Bien
et meurent en accomplissant le bien.
Malheur à ceux qui œuvrent sournoisement pour le Mal
et s’appellent fils du Bien et de la Lumière.
Nul ne peut servir deux maîtres à la fois.
Ô BASSITOME Joseph!
Joseph BASSITOME mon frère et confrère.
Merci pour les merveilles de la grâce du Christ en toi,
Pardon à Jésus pour tous tes manquements.
Mon frère et confrère BASSITOME Joseph,
Pourquoi es-tu parti?
Qu’as-tu vu dans le Corps ?
Qu’as-tu vu dans la Maison ?
N’as-tu pas vu le Christ?
Sans doute tu l’as vu et tu as mangé avec Lui en compagnie des confrères.
Tu as témoigné de Lui.
Ô soldat vaillant ! Pourquoi as-tu démissionné en plein combat?
Ta faiblesse a-t-elle triomphé sur la grâce du Christ en toi?
Le Mal ne triomphe jamais du Bien.
Que s’est-il alors passé ?
Dis le moi, dis-le nous.
Dis-le nous, dis-le moi,
Que s’est-il vraiment passé?
Que s’est-il passé au fond de ton âme?
Que s’est-il passé dans ton esprit?
Que s’est-il passé dans ton humanité?
Je te sais être vaillant pour le combat contre le Mal.
Le Mal a-t-il triomphé de toi?
Non, je ne peux pas croire car je crois en la grâce du Christ
présente en toi depuis le commencement.
Et pourtant tu as quitté en plein combat.
Tu as quitté pour ne pas quitter j’espère.
Car ce n’est point quitter Dieu que de quitter Dieu pour Dieu.
Dieu est-il présent là où tu te retrouves? Sans doute oui, mais l’as-tu vu?
La semence du Verbe est partout présente pour que tous les êtres
reviennent à Dieu notre Père malgré les tâtonnements en vue du bien.
Ô BASSITOME Joseph mon confrère, mon frère et ami,
Dis-moi pourquoi tu es parti?
Tu m’as dit que tu n’es pas parti.
Tu m’as dit que tu continues le combat pour la justice et la vérité.
Oui, tu n’es pas parti,
Tu n’es pas parti, mais je te vois sans te voir.
Mon cœur au fond de moi se tord de douleurs car je te vois sans te voir.
Et pourtant tu es là.
Confirme-moi que tu es parti pour que meure ce qui doit mourir : le mal
Rassure-moi que tu es parti pour que meure ce qui doit mourir: le mensonge.
Témoigne-moi que tu es parti pour que meure ce qui doit mourir: l’hypocrisie.
Témoigne-moi que tu es parti pour que meure ce qui doit mourir: la duplicité.
Confirme-moi que tu es parti pour poursuivre le combat contre le Mal.
Hmmmm!
Un vent souffle du Sud : c’est BASSITOME Joseph qui, conscient de ses péchés, refuse de se laisser davantage corrompre par un mal et qui s’en va comme il était venu.
Où va-t-il?
A-t-il démissionné d’être vaillant soldat du Christ ?
Il m’a dit qu’il ne démissionnera jamais de faire partie des enfants de Lumière.
Et pourtant je le vois sans le voir.
Le Christ va-t-il l’abandonner? Je ne crois pas.
Le Christ est là pour le salut de tout homme.
Je pleure et je me réjouis car la grâce du Christ est encore avec toi mon frère et confrère.
Une voix crie dans le désert et proclame: ton départ n’est pas un départ car au départ ton départ était dépourvu du départ d’aujourd’hui.
Qui t’a poussé et tu es tombé?
J’espère que tu as pardonné à qui t’a poussé quand tu voulais que la grâce du Christ t’élève.
Je connais le petit bien qui est en toi et je suis conscient de tes innombrables péchés. Tu le sais de moi aussi.
Merci Seigneur pour ton enfant Joseph BASSITOME.
Pardon Seigneur pour tout manquement de ton enfant.
Seigneur Jésus,
Que veux-tu nous dire par BASSITOME Joseph?
Quel message nous laisses-tu, Seigneur?
Un cri de douleurs s’élève de Kara: c’est le père Joseph BAOULA qui pleure et refuse de se taire avant l’heure car BASSITOME Joseph est parti sans partir et il le voit sans le voir.
Un cri s’élève de Kara: c’est le père Joseph BAOULA qui gémit et se tord de douleur car blessé par la fumée du Diable et voyant cette fumée intoxiquer ses frères et sœurs de la grande Famille.
C’est un cri d’appel pour le combat contre la fumée du Diable.
BASSITOME Joseph va-t-il revenir? Hmmmm
Qui lui fait peur dans la Maison familiale? Qu’est-ce qui lui fait peur?
Tel qui se croit être dedans peut être dehors;
Tel qui se croit être dehors peut être dedans.
Qui est dedans et qui est dehors ?
Dieu seul sait, mais on reconnaît le bon arbre par ses fruits.
Le mauvais arbre aussi se reconnaît à ses fruits.
Dieu, lève-toi sur les cieux, que ta Gloire domine la terre. Que tous les enfants de Lumière se lèvent dans la Gloire de Dieu pour le salut de tous les hommes.
Ô Marie conçue sans péché, priez pour nous.
Saint Joseph, priez pour nous.
Saint Michel Archange, secourez-nous dans le combat contre le Mal.
Union de prières.
Je suis bien conscient de mon témoignage et je peux répondre pour tout ce que j’ai dit au sujet de BASSITOME Joseph.
Mon témoignage révèle tout ce qui se passe dans tous les diocèses du Togo. Ce n’est pas purement une affaire pour le diocèse d’Aného. A Aného, ça peut être mieux. Il est l’heure de cesser nos pagailles dans l’Eglise du Christ.
Père joseph BAOULA, Prêtre du diocèse de Kara
Source : icilome.com